Pensée chrétienne de ce 17 novembre 2007.
L'Éternel… c'est lui qui guérit ceux qui ont le coeur brisé, et qui bande leurs plaies ; qui compte le nombre des étoiles ; à elles toutes il donne des noms.
Psaume 147. 2-4
Je m'exerce moi-même à avoir toujours une conscience sans reproche devant Dieu et devant les hommes.
Actes 24. 16
La navigation céleste
Tous ceux qui font de la voile connaissent ce que l'on appelle la navigation céleste. C'est le fait de se diriger d'après les étoiles. Que se passerait-il si elles prenaient chaque soir une position aléatoire ? Elles ne pourraient plus servir de repères.
Il en est de même dans le domaine moral. Il existe des repères moraux. Ce n'est pas nous qui les fixons, ils ont été fermement établis par Dieu.
De nos jours, il existe des instruments perfectionnés qui permettent de se diriger la nuit, même lorsque les nuages empêchent de voir les étoiles. Ces instruments – inutile de le dire – ne décident pas de la position du bateau, ils la repèrent seulement. De même, ce n'est pas nous qui décidons ce qui est bien et ce qui est mal ; c'est Dieu. Notre responsabilité est de savoir si ce que nous faisons respecte ou non les lois morales de Dieu. Nous avons pour cela une conscience, et surtout nous avons le livre de Dieu, la Bible, qui nous révèle ses pensées.
Aucun navigateur ne se risquerait à ne pas tenir compte des étoiles ni des signaux qui lui indiquent sa position maritime. Il irait au naufrage. Dans le domaine moral, c'est la même chose ; négliger ce que Dieu dit, c'est aller au désastre. Il est donc temps, il est même urgent de cesser de vouloir, par nous-mêmes, décider ce qui est juste et ce qui est bien. Il faut écouter Dieu, lire sa parole, la recevoir et la vivre. «La foi vient de ce qu'on entend – et ce qu'on entend par la parole de Dieu» (Romains 10. 17).
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Il en est de même dans le domaine moral. Il existe des repères moraux. Ce n'est pas nous qui les fixons, ils ont été fermement établis par Dieu.
De nos jours, il existe des instruments perfectionnés qui permettent de se diriger la nuit, même lorsque les nuages empêchent de voir les étoiles. Ces instruments – inutile de le dire – ne décident pas de la position du bateau, ils la repèrent seulement. De même, ce n'est pas nous qui décidons ce qui est bien et ce qui est mal ; c'est Dieu. Notre responsabilité est de savoir si ce que nous faisons respecte ou non les lois morales de Dieu. Nous avons pour cela une conscience, et surtout nous avons le livre de Dieu, la Bible, qui nous révèle ses pensées.
Aucun navigateur ne se risquerait à ne pas tenir compte des étoiles ni des signaux qui lui indiquent sa position maritime. Il irait au naufrage. Dans le domaine moral, c'est la même chose ; négliger ce que Dieu dit, c'est aller au désastre. Il est donc temps, il est même urgent de cesser de vouloir, par nous-mêmes, décider ce qui est juste et ce qui est bien. Il faut écouter Dieu, lire sa parole, la recevoir et la vivre. «La foi vient de ce qu'on entend – et ce qu'on entend par la parole de Dieu» (Romains 10. 17).
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(source : La bonne semence)