Leonardo DiCapro inquiet pour la Terre.
Très impliqué dans la protection de l'environnement, l'acteur américain Leonardo DiCarpio vient de sortir aux Etats-Unis un documentaire écologique en forme de mise en garde. La star de 32 ans n'hésite pas à se montrer alarmiste, n'annonçant rien de moins que la fin du monde.
- La fin du monde est proche, un triste avenir nous attend.
Dignes d'un film de science-fiction, ces propos alarmistes sont dus à Leonardo DiCaprio. Que ses fans se rassurent, l'acteur du Titanic n'a pas encore décidé de se reconvertir dans la voyance tendance catastrophe. Seulement, comme beaucoup, la vedette s'inquiète pour la Terre.
Très impliqué dans la protection de l'environnement, le comédien de 32 ans est arrivé à une conclusion fataliste :
- Si rien n'est fait pour endiguer le réchauffement climatique, l'avenir de la planète est compromis. Il est clair que les êtres humains ont un impact dévastateur. Nous devons opérer des changements partout dans le monde, au-delà de la politique et des religions.
Soucieux d'alerter l'opinion publique des dangers encourus, Leonardo DiCaprio a donc décidé d'être le scénariste et le narrateur d'un documentaire écologique intitulé La 11e heure - le dernier virage. Dans la lignée du long-métrage soutenu par Al Gore, "Une vérité qui dérange", ce film dresse, à travers des rencontres avec une cinquantaine de scientifiques, intellectuels et leaders politiques, un constat pessimiste sur l'état de l'environnement. Proposant des solutions pour tenter de restaurer l'écosystème planétaire, le film se veut petit guide pratique de l'écologie. Car l'important, selon DiCaprio, c'est la prise de conscience des électeurs bien sûr, mais avant tout des consommateurs. C'est pourquoi, loin d'être un oiseau de mauvaise augure, l'acteur profite de son exposition médiatique et ne manque pas de montrer le bon exemple dès qu'il le peut. Le comédien est aussi un ardent promoteur des technologies vertes comme les voitures hybrides, et des panneaux solaires équipent son domicile.
Soucieux d'alerter l'opinion publique des dangers encourus, Leonardo DiCaprio a donc décidé d'être le scénariste et le narrateur d'un documentaire écologique intitulé La 11e heure - le dernier virage. Dans la lignée du long-métrage soutenu par Al Gore, "Une vérité qui dérange", ce film dresse, à travers des rencontres avec une cinquantaine de scientifiques, intellectuels et leaders politiques, un constat pessimiste sur l'état de l'environnement. Proposant des solutions pour tenter de restaurer l'écosystème planétaire, le film se veut petit guide pratique de l'écologie. Car l'important, selon DiCaprio, c'est la prise de conscience des électeurs bien sûr, mais avant tout des consommateurs. C'est pourquoi, loin d'être un oiseau de mauvaise augure, l'acteur profite de son exposition médiatique et ne manque pas de montrer le bon exemple dès qu'il le peut. Le comédien est aussi un ardent promoteur des technologies vertes comme les voitures hybrides, et des panneaux solaires équipent son domicile.
Bien décidé à ne pas se laisser gagner par la résignation, l'acteur aurait nuancé ses prédictions apocalyptiques en déclarant, lors d'une interview pour le mensuel américain Ecologist :
- Lorsqu'on voit la ténacité et la créativité des gens, il y a de l'espoir.
Appuyant ses propos, le héros de Titanic a récemment déclaré qu'il souhaitait découvrir les joies de la paternité avec sa compagne, le mannequin Bar Rafaeli. La fin du monde, ce sera donc pour plus tard.
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source : Directsoir n° 192 du lundi 3 septembre 2007